J’ai fait une belle découverte musicale hier à la 4e salle du Centre national des arts (merci Carole!) : un jeune auteur-compositeur-interprète d’Ottawa qui a pour nom Louis-Philippe Robillard. Se décrivant lui-même comme un « vagabond de l’imaginaire », il chante des textes très poétiques, et souvent engagés, sur une musique rock-folk.
Je lui fais ici un clin d’œil en citant les vers inscrits en exergue sur la pochette de son album Le café des oiseaux :
« Les instruments de musique ne parlent pas
On leur met les mots dans la bouche
Ça commence avec des doigts
Beaucoup de notes
De brouhaha
Qui font peur
On se demande si ça peut tout dire
Un troupeau de sons sauvages
Qu’il faut apprivoiser
Comme les pigeons
Qui furent voyageurs
Avant d’être locataires
Des cités »
Il propose un échantillon de ses chansons sur www.louisphilipperobillard.com.