Et si j’abandonnais toute pudeur? Depuis des semaines, je mijote un billet sur l’incommunicabilité, mais j’achoppe constamment sur ma peur de trop révéler, parce que ce billet part d’expériences qui ont ravivé de très vieilles blessures.
Et comme par hasard, ce soir, mon journal s’est ouvert à la page où j’avais recopié quelques mots d’un billet publié par mon amie Alison Gresik en juillet dernier (How to Multiply the Meaning in Your Life) :
« You don’t know what my life means until I tell you the story »
[Tu ne peux pas connaître le sens de ma vie tant que je ne t’ai par raconté mon histoire]
Elle y parlait de nos filtres, du courage qu’il faut pour se révéler, du besoin de sens qui habite les créatives ainsi que notre désir de transmettre, de laisser un certain héritage.
Très intéressant, ce petit billet…Ce n’est pas facile de se révéler, de savoir les limites…
À chaque fois que je me dis « je ne peux écrire une telle chose sur mon blog », je l’écris immédiatement 😉
I know what you mean (that is, I think I know what Google Translate tells me you mean). We have so many story-telling outlets nowadays (Facebook, Twitter, blogs, personal conversations) and it’s hard to decide how much to share and where. And everything we say masks the unspoken truths behind it.
I hope you find the right way to share your story, even if it’s only in your private journal to yourself.
Patty, merci pour l’encouragement. À l’évidence, je n’ai pas votre audace!
Alison: yes, there are the unspoken truths, and there are also the pieces of other people’s stories interwoven with our own.