En faisant le ménage de mon bureau, je suis tombée sur un profil de Louise Penny*, romancière canadienne-anglaise qui écrit des polars se déroulant au Québec. Voici comment Mme Penny décrit le travail d’écriture :
Un romancier est une sorte de Frankenstein. Comme lui, on fabrique des personnages avec des morceaux de vraies personnes qu’on rencontre dans la vie. Ou que l’on emprunte à l’histoire.
C’est effectivement par « emprunt » que je construis mes personnages.
* Georges-Hébert Germain, « La femme qui tue », L’Actualité, 11 novembre 2011.
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La voie de l'écriture