On parle souvent de la difficulté de conjuguer l’écriture avec un métier alimentaire. Le cumul de fonctions peut cependant avoir ses bons côtés. L’un d’eux, c’est que vos consœurs et confrères de travail peuvent devenir des fans dévoués.

Ce cadre magnifique m’a justement été offert la semaine dernière par mes confrères et consœurs à l’occasion d’une petite fête visant à souligner mon succès littéraire.

Cadre signéJ’ai de la chance de faire partie d’une telle équipe! Les signatures sur le passe-partout me rappelleront de tenir bon quand frappera le doute (ce qui se produira assurément à un moment ou à un autre durant l’écriture du nouveau roman).

Samedi matin, quand j’ai allumé l’ordinateur et vérifié mes courriels, j’ai eu le bonheur de trouver une réponse à mon « clin d’œil » de la Grande bibliothèque. Ça m’a donné le goût de récidiver!

Écrire, bien sûr, est une activité solitaire. Néanmoins, de temps en temps, il fait bon pour l’écrivaine de sortir de sa solitude…

D’ailleurs, une des grandes joies qui m’a été donnée comme finaliste du Prix des lecteurs Radio-Canada 2013, c’est de pouvoir échanger avec des gens passionnés de lecture. J’aimerais donc emprunter ici les mots de Dany Laferrière pour saluer tous ces téméraires qui, livre après livre, « accepte[nt] de plonger dans un univers inédit qui risque de changer [leur] vision du monde. »*

* Tiré du magnifique article « Éloge du lecteur », paru dans Le Devoir le 17 novembre 2010.

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