SONY DSCJ’attends impatiemment que les tulipes sortent du sol et que les lilas refleurissent. Pour moi, c’est au printemps qu’il faut voir Ottawa.

C’est la saison où la ville révèle son âme, où elle se permet de montrer son romantisme suranné et détourne les yeux du Parlement pour réapprendre à jouer.

Pour ajouter aux plaisirs printaniers, le Ottawa Writers Festival intègre cette année un volet francophone — comme l’a fait VerseFest en mars.

En attendant, j’ai fait un peu de ménage sur ce blogue. J’ai réorganisé les menus, retouché ma bibliographie et mis à jour ma page d’activités. Certains clament que le blogue est mort, d’autres qu’il traverse simplement une période de mutation.

Je m’interroge périodiquement sur la façon de tirer le meilleur de cette vitrine numérique et sur sa place dans l’ensemble de ma démarche créative. Ma fréquence de publication a diminué, parce que le gros de mes énergies va au nouveau roman pour l’instant. J’ai parfois l’impression qu’il va m’avaler. Puis l’impression passe et je retrouve mon aplomb.

Pendant que je planche sur cette nouvelle histoire, j’espère que vous lisez « de tout… partout » — y compris dans le métro ou l’autobus.

Catégorie:
La voie de l'écriture, Périphérie
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